La partition singulière du musée de Montréal

Moins de subventions, mais beaucoup d'idées et un sens certain de la débrouillardise — autrement dit cette French touch qui fait l'originalité québécoise au sein d'un Canada anglophone — caractérisent le musée des Beaux-Arts de Montréal (MBAM) qui fête son 150e anniversaire et s'offre en cadeau un nouveau pavillon d'art canadien et la restauration de l'église adjacente Erskine & American, avec de somptueux vitraux de Tiffany (coût de l'opération 33 M $ canadiens). Sa directrice, Nathalie Bondil, répond aux questions de l'Estampille-L'Objet d'Art. Propos recueillis par Jeanne Faton.

Magazine : L'Estampille/L'Objet d'Art n° 463 Page : 26-27