Durant l’Antiquité tardive, on observe, pour l’alimentation, une évolution similaire à la plupart des pratiques sociales. Partant de modèles bien marqués de la République et du début de l’Empire, considérés comme des normes dans la totalité de l’Empire romain, les pratiques alimentaires prennent progressivement en compte les goûts de populations « barbares » de mieux en mieux connues par les Romains, voire intégrées dans la société romaine.
Auteur : DIERKENS Alain
Magazine : Dossiers d'Archéologie Hors Série n° 39 Page : 68-73