N° 582 - Déc. 19
ISSN : 0570-6270
Dans ce dernier numéro de l’année, Archéologia vous propose un grand dossier sur les fêtes romaines. Derrière celles connues, comme les Saturnales, se cache un calendrier complexe qui rythmait et structurait l’identité romaine.
En Égypte, la cité de Dionysias a livré près de 15 000 moules en argile destinés à la fabrication de fausses monnaies romaines, mieux connues grâce à un projet en cours.
Depuis plus de trente ans, des archéologues aériens scrutent patiemment les terroirs du Massif armoricain à la recherche d’anomalies et nous livrent ici quelques-unes de leurs plus remarquables découvertes.
En Charente-Maritime, à Saint-Sulpice-de-Royan, une parcelle a livré plus de mille structures archéologiques qui ont permis d’esquisser les traits d’un village des VIIe et VIIIe siècles.
À Montauban, le musée Ingres Bourdelle rouvre ses portes. Outre un important ensemble d’œuvres d’art, il conserve également de belles collections archéologiques, témoignage de la richesse patrimoniale du Tarn-et-Garonne.
Sans oublier notre archéofolio et nos pages d’actualités. Nous vous souhaitons de très belles fêtes de fin d’année !
Quand les hommes fabriquaient des épées pour ne pas s’en servir.
Six épées hors du commun parmi les plus anciennes au monde ont été enfouies il y a 3?500 ans dans les landes d’Angleterre, de France et des Pays-Bas. Datées du début de l’âge du Bronze moyen, soit d’une période située entre 1700 et 1500 avant notre ère, elles sont un peu plus jeunes que les premiers palais crétois et plus vieilles que Toutankhamon. La relative imprécision de leur datation est due aux circonstances particulières de leurs découvertes, souvent anciennes et décontextualisées.
Auteur : Simon-Millot (R.) - Dumont (L.)
Magazine : Archéologia n° 582 Page : 22-23